Ariana Grande brise le silence et recadre les critiques sur son corps

Publié : 10h59 par Iris Mazzacurati

Crédit image: Capture écran Instagram Ariana Grande

A l’occasion de la sortie de "Wicked : Partie II", Ariana Grande remet sur la table un combat qui la suit depuis des années : celui contre le body shaming. La star adresse un message fort à celles et ceux qui commentent son physique sans retenue.

Ariana Grande vit une période intense avec la promotion mondiale de Wicked : Partie II, où elle incarne Glinda aux côtés de Cynthia Erivo. Mais ce retour sous les projecteurs réactive aussi une vague de commentaires toxiques sur son apparence. Depuis plusieurs années, la chanteuse de 32 ans fait face à des spéculations inquiétantes autour de sa minceur, certains allant jusqu’à évoquer des problèmes de santé sans fondement.

Ce week-end, l’artiste partage sur ses réseaux sociaux un extrait d’une interview accordée l’an dernier. Un geste qu’elle présente comme un « rappel amical », mais dont la portée est loin d’être anodine.

Elle y confie vivre sous le regard du public depuis l’adolescence, exposée aux jugements constants sur son corps, ses vêtements, son visage. Pour elle, cette facilité à commenter l’apparence des autres est devenue profondément malsaine.

Ariana Grande ne cache plus son ras-le-bol.

Elle explique même recevoir parfois ce type de remarques de personnes de son entourage. Désormais, elle fait passer un message clair : elle ne tolère plus ces critiques et choisit de se protéger, quitte à bloquer des comptes sur les réseaux sociaux. Son mantra est simple : personne n’a le droit de dicter à autrui comment il ou elle devrait être.

Ce combat, la chanteuse le mène aussi publiquement. En 2023, elle dénonçait déjà la pression autour des standards de beauté, rappelant qu’il existe une infinité de formes de beauté et différentes façons d’être en bonne santé.

Avec la sortie de Wicked : Partie II, son message résonne encore plus fort. Ariana Grande transforme sa vulnérabilité en prise de parole essentielle.