"Le mal aimé" : le fils de Claude François ému par la pub Intermarché

La nouvelle pub Intermarché de Noël rencontre un succès phénoménal. Avec son loup devenu symbole d’inclusion, le spot totalise déjà plus de 600 millions de vues à travers le monde. Mais au-delà de l’histoire, c’est la musique qui marque les esprits : Le mal aimé, chanson de Claude François sortie en 1974, sert de bande-son à cette campagne devenue virale.

Résultat immédiat : le titre connaît une seconde vie spectaculaire. Les écoutes explosent, avec une hausse estimée à plus de 340 %. Aux États-Unis, le morceau est passé de quelques dizaines à plusieurs milliers de streams quotidiens. Un retour en lumière aussi rare qu’impressionnant.

 

Claude François Junior touché par l’impact

Ce regain d’intérêt n’a pas laissé indifférent Claude François Junior. Interrogé par Paris Match, le fils de l’artiste confie avoir été profondément ému par la pub Intermarché. Selon lui, le message du spot arrive au bon moment, à l’approche des fêtes, et transmet une idée forte de vivre-ensemble.

Il explique également que Le mal aimé était central dans la narration. L’histoire du loup rejeté par les autres animaux fait directement écho aux paroles de la chanson. Sans ce titre, le scénario aurait sans doute été très différent.

 

“J’ai senti la petite larme”

C’est lors d’un premier visionnage professionnel que l’émotion a pris le dessus. Devant plusieurs collaborateurs, Claude François Junior reconnaît avoir eu du mal à contenir ses larmes. La puissance du récit et certaines scènes, notamment le regard final échangé entre les personnages, l’ont particulièrement marqué.

Cette réaction sincère illustre l’impact émotionnel de la pub Intermarché, bien au-delà de son objectif commercial.

 

Un succès culturel inattendu

Face à l’engouement, Intermarché a même décidé de lancer en urgence une peluche du célèbre loup, devenue un objet très demandé. Preuve que cette campagne dépasse le cadre publicitaire.

Grâce à la pub Intermarché, Claude François retrouve une place centrale dans l’actualité musicale. Le mal aimé confirme ainsi son statut intemporel, capable de toucher toutes les générations.