La fille de Steven Spielberg, Mikaela, se lance dans le porno (photos)

21 février 2020 à 11h15 par A.L.

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Mikaela Spielberg se lance dans une carrière pornographique.
Crédit : Capture d'écran Facebook Mikaela Spielberg

Mikaela George, adoptée lorsqu'elle était bébé par le cinéaste Steven Spielberg et son épouse Kate Capshaw, a décidé de se lancer dans le porno à l'âge de 23 ans.

Ce mercredi 19 février, Mikaela George, 23 ans, la fille adoptive de Steven Spielberg et de son épouse Kate Capshaw, a fait une annonce inattendue à la version américaine du tabloïd The Sun : "Je veux produire du contenu érotique. Des photos, des vidéos pour des clients privés, ou même pour le public", a-t-elle déclaré. Surnommée "Sugar Star" dans le milieu du X, la jeune femme qui se présente comme "une créature sexuelle", a commencé les camshows sur un fameux site. Une fois qu’elle aura obtenu une licence de travailleuse du sexe à Nashville dans le Tennessee, où elle vit, Mikaela aimerait devenir strip-teaseuse dans une boite de nuit. Et si elle n’a tourné qu’en solo pour l’instant, la jeune femme a admis qu’elle serait contente de pouvoir s’orienter dans le fétichisme des mains ou de la poitrine, qu’elle appelle sa "machine à sous". Par ailleurs, elle ne veut pas tourner de scène avec d’autres personnes, par respect pour sa relation avec son fiancé Chuck Pankow.

L'annonce à ses parents

Mikaela Spielberg a notamment confié avoir annoncé son choix de carrière à ses parents le week-end dernier lors d'une conversation en FaceTime. "Je ne fais pas cela pour blesser quiconque ou être méchante, je fais cela parce que je veux honorer le corps d'une manière lucrative. Je pense que lorsqu'ils verront tout le chemin que j'ai parcouru en un an et demi, où j'étais au fond du seau, ils se diront : 'Wow, nous avons élevé une jeune femme indépendante et confiante'", a-t-elle expliqué, avant de poursuivre : "C'est mon corps, mon choix, ma vie, mon revenu. Je ne dois à personne mon autonomie, ni ma vertu. Je veux pouvoir dire aux gens qu'il n'y a aucun mal à utiliser mon corps de la manière qui me convient (...) C'est un choix qui me donne de la force. Je réalise qu'il n'y a aucune honte à avoir une admiration et une fascination pour cette industrie, et que je veux faire quelque chose de sûr, sain et consensuel". Voilà qui a le mérite d'être clair !